samedi 21 mai 2016

"Lost inTranslation"... De Sao Luiz à Panama City, D'Amérique du Sud en Amérique Centrale!!!!

Après avoir dormi dans l’aéroport, nous être réveillé à 3h00 du matin, avoir enregistré nos bagages, nous rentrons dans la salle d’embarquement. Nous nous préparons à vivre un long, très long voyage avec de multiples arrêts. Nous sommes le 04 Mars. Nous aurions pu arriver à destination en seulement quelques heures. Mais un voyage au long cours demande de l’organisation, des choix et un besoin de dépenser ces économies avec parcimonie. Au lieu d’un vol direct de Sao Luis, au Brésil, à Panama à plus de 600 euros par personne, nous n’en débourserons que 120. C'est l'avantage d'avoir du temps! Ça nous permet de choisir les vols les moins chers!! Et puis nous allons «découvrir du pays», enfin surtout des aéroports! Nous allons pendant plus de 48h00 être «Lost in Translation» (perdu en transition)! Pourtant ce voyage sera très intéressant à différents points de vue, malgré toutes ces escales pour arriver à la destination finale souhaitée. C’est tellement incroyable de voir comment nous pouvons passer de pays en pays, ou plutôt d’aéroport en aéroport! 
La première étape se passe à Rio de Janeiro. Nous arrivons avant 8h00. Notre prochain avion est lors de la nuit suivante. Nous décidons donc de sortir de l’aéroport, de profiter un jour de plus de cette magnifique ville. Nous nous rendons directement près de Copacabana. Entre la ville, ces plages, les locaux, une Capairinha et un repas typique; la feijoada, nous passons une journée agréable. Nous vivons pleins de moments en toute simplicité. Cette étape va aussi nous réserver une anecdote assez incroyable!

Nous avons encore des Real. Nous nous rendons donc dans un bureau de change. Au guichet, deux dames se partagent le travail. Une est en formation. Elles se trompent! Elles nous donnent 255 euros au lieu de 55 euros... Nous nous regardons une première fois. Une certaine excitation nous gagne. En sortant du bureau de change, nous recomptons les billets et nous n’en revenons pas!  Nous sortons dans les rues de Rio en direction de la plage de Copacabana.


Quelque chose nous dérange et nous ne sommes pas tranquilles. Serions-nous capable de bafouer nos valeurs? Très vite, sans avoir à nous concerter plus que cela, nous décidons, après quelques minutes, de faire demi-tour. Nous redonnons cet argent qui ne nous appartient pas! Beaucoup de personnes nous auraient dit que nous sommes fous, que nous n’avons pas volé quelqu’un, et que nous devrions garder ce cadeau qu’elles viennent de nous faire. Nous ne pourrons pas avoir notre conscience tranquille si nous n’inversions pas le court des choses et des événements. Nous sommes heureux d’avoir fait demi-tour et d’avoir remis en main propre à la formatrice, les 4 billets de 50 euros qu’elles nous ont donnés en trop!  Pourtant une frustration va surgir. Elle vient du fait que la fille en formation n’est pas là, pour avoir ce retour de notre part et surtout que la formatrice ne nous remercie même pas. Elle reste impassible, sans un sourire. Nous venons peut-être de les sauver d’un gros problème concernant un trou de caisse conséquent qui pourrait remettre en jeu leur poste. Le monde ne tourne parfois pas toujours rond... C’est un peu frustrant mais nous n’aurions pas réussi à profiter de ces 200 euros «tombés du ciel» ou plutôt de la main de deux guichetières un peu distraites. En tout cas, cela renforce encore un peu plus les valeurs que nous partageons. 
Nous finissons la journée au bord de l’eau à siroter une dernière  Capairinha sur le sol brésilien. En soirée, nous nous enregistrons pour les vols suivants. Cette fois-ci, nos bagages iront directement jusqu’à la destination finale; Panama City. En attendant, le premier avion va nous faire traverser le continent sud-américain d’est en ouest. Les paysages sont splendides depuis le ciel. Nous traversons la cordillère des Andes. Nous pouvons admirer de magnifiques volcans enneigés, des lacs, des paysages désertiques. 
Nous atterrissons en  milieu de journée à Lima, au Pérou. L’escale dans ce pays va durer plus de 6h00. Ça aurait pu être sympa de sortir pour quelques heures, comme ça sera le cas aussi à notre prochaine escale. Mais un visa de transit coûte 30 euros. Cela nous décourage très rapidement. Nous prendrons donc le temps de prendre le temps dans cet aéroport assez agréable. Nous discutons, lisons, faisons les fous devant un écran tactile où nous pouvons intégrer nos visages dans un décor du Machu Picchu, avec un lama! Nous retournons aussi, de nombreuses fois, dans un magasin, qui propose en dégustation des petites boules de chocolat noir ou blanc, fourrées aux amandes, noix de macadamia, coco. Il y avait aussi les noix de pécan caramélisées et ceux fourrés aux fruits, même si nous en sommes beaucoup moins fan. En effet, nous adorons, tous les deux, les fruits et le chocolat, mais nous ne sommes pas des grands fans de leurs mélanges. 
Les heures s’égrènent très vite. Voilà déjà venu le temps de partir pour une nouvelle escale. A chaque fois, le vol ne dure que quelques heures mais nous avons la chance de pouvoir nous désaltérer et nous restaurer, grâce à des repas et boissons proposés à chaque vol. Après avoir atterri dans un pays que j’ai visité en 2006, nous atterrissons dans un pays que j’ai découvert en 2010. Il s’agit de la Colombie et de sa capitale Bogota. Si nous avions pu visiter ensemble ce pays, j’aurais adoré car je n’ai que de bons souvenirs de ces lieux. Et oui, contrairement aux aprioris non justifiés d’insécurité et de pays malfamés, qui circule en Europe, particulièrement en France, ce pays est un vrai bonheur pour tous les voyageurs, qui ont décidés de venir le découvrir. Demandez autour de vous, si vous connaissez quelqu’un qui a eu la chance de fouler ces terres, je suis persuadé que vous verrez son visage s’illuminer et un sourire radieux apparaître! Seules les régions frontalières ne peuvent pas se visiter car les cartels de drogues y règnent encore en maître, mais ce n’est pas le sujet du jour. En ce 5 Mars, nous ne visiterons que l’aéroport international de Bogota, car nous avons dû faire des choix au vu du temps imparti.



Nous allons même y dormir toute la nuit. Une fois encore, nous devons simplement prendre notre mal en patience. Mais avec de petites activités simples et plaisantes, de fils en aiguilles le temps s’écoule. Très vite sera déjà venu le temps de partir pour la destination finale.  En attendant nous dégustons notre repas à base d’empanadas à la viande et au fromage. Ensuite nous nous permettons un petit plaisir sucré, sous la forme d’un beignet au chocolat avec ces morceaux de noix. Nous passons le reste du temps sur des bancs confortables, à l’écart de la foule, qui de toute façon «se volatisera» au cours de la nuit.  Après avoir lus et écrits, Lucie s’endort jusqu’au petit matin. 
De mon côté, je reste éveillé beaucoup plus longtemps! Je m’occupe grâce à diverses activités ludiques c’est aussi le parfait instant pour mettre en éveil mon esprit. Ce périple du Brésil au Panama est un peu comme un moment hors du temps. Je réfléchis sur certains aspects de ma vie, sur ce que nous vivons. Mais je pense aussi, par exemple, au simple fait de vous raconter mes périples, sans tabous, en toute sincérité. Je me suis mis parfois à nu! Je vous ai exposé mes aventures, le plaisir du voyage, des découvertes associées, les merveilles de la nature, mais aussi mes états d’âmes. Pourtant je pense être une personne plutôt assez réservé, assez timide même parfois quand je ne passe pas par mes écrits. Je souhaitais et souhaite simplement vous faire partager un projet merveilleux qui m’a permis de rêver éveillé. J’ai pu assouvir ma curiosité concernant la vie de nombreuses personnes dans différents pays, avec différentes cultures… Je n’ai pas obligatoirement envie d’être remarqué, je ne suis pas non plus exhibitionniste mais cela me permet peut-être de me réconcilier avec ce que je suis, ou ce que je veux être! Dans un souci de partage, cela me permet de me découvrir ou redécouvrir, de dompter de nombreux aspects de ma personnalité. Je ne sais pas jusqu’à quel point j’ai pu me confier à vous, jusqu’à quel point j’ai pu me dévoiler. Même si vous êtes rentrés un peu dans mon intimité, je garde en moi encore tellement de secrets, de zones de mystère, de multiples aspects de ma personnalité, de sensibilité exacerbée ou des blessures. Grâce à ce partage, j’ai envie de donner des envies à certains de partir, j’ai envie de faire rêver, me rapprocher d’autres…  Je pense en tout cas avoir atteint un stade de liberté où j’assume totalement mes choix et, où je peux espérer envisager l’avenir avec plus de sérénité.

En regardant un peu derrière moi, ce qui m’arrive rarement car je vis toujours le moment présent, ou envisage des projets futurs, je me rends compte que j’ai eu en quelque sorte plusieurs vies. J’ai eu des traversées «du désert», Je me suis parfois enfermé dans un certains chaos avec des angoisses et des doutes. Mais à travers ces errances, ces découvertes, j’ai grandi. Je possède maintenant des points d’ancrage qui m’éviteront de retourner dans certains travers. Je peux dire que j’ai eu de nombreuses vies dans mon existence  et qu’à chaque transition ce fut un peu comme une nouvelle naissance… J’ai appris de mes nombreuses expériences, j’ai réussi à mieux comprendre d’où venaient mes peurs. Mais surtout j’ai appris à m’aimer comme je suis, à me responsabiliser, à me respecter, à essayer de lâcher prise et ne plus vouloir tout contrôler. J’ai même accepté que l’on m’aime, j’ai appris et j’apprends encore à faire confiance. Même si j’ai encore besoin de me le dire à voix basse ou haute pour le mettre en application, je me sens plus unifié. J’ai réussi à rassembler tout ce que je suis, tout ce qui m’anime, pour pourvoir être en harmonie avec moi-même! Je ne suis plus obliger de me disperser ou me perdre. Je peux vivre l’éphémère avec envie en m’émerveillant d’être vivant et de jouir de tant de possibilités. Le chemin a déjà été très long et il n’est pas prêt de s’arrêter. Certaines désillusions et surtout tous ces instants de vie merveilleux font ce que je suis aujourd’hui. Tous les moments de bonheur, de partage et de joie me donnent le sourire et me font croire à un avenir radieux.  En tout cas le moment présent est beau car je suis où je veux être et je fais ce que je désire faire…

Dans ces derniers paragraphes, je vous parle de moi, de ce que je suis et à ce que j’aspire, vers quoi je me penche, je me dirige. Mais maintenant et cela depuis de nombreux mois, je partage ma vie avec quelqu’un. Je la partageais et la partage depuis de nombreuses années avec beaucoup de proches, des amis ou de simples rencontres. Mais là, je veux vous parler de quelque chose de beaucoup plus fort, d’un sentiment particulier que l’on ne peut partager qu’avec qu’une personne et qui ne demande qu’à se renforcer avec le temps. Cela n’est pas toujours évident. Parfois nous sommes encore un peu trop intrusifs dans la vie de l’autre, ou au contraire nous ne prenons pas assez en compte l’autre, son histoire, et ces sensibilités. Nous avons trouvés pourtant une bonne distance dans notre relation, qui nous permet et nous permettra encore plus dans le futur de s’épanouir en tant qu’individus et aussi en tant que «la moitié» de l’autre dans le couple.  Cette distance reste encore à affinée! Cela passe par de la communication, un échange constant et le fait de toujours se rappeler que l’autre est une entité à part entière, qu’elle est unique! Même si nous partageons de nombreux points en commun, nous ne sommes pas exactement les mêmes et heureusement pour nous, notre équilibre et notre couple.  Nous devons donc faire attention à notre intimité, au sens large du terme. Il ne faudrait pas que cette dernière soit mise à mal par l’être aimé dans un souci de bien faire, mais sans se rendre compte que ce n’est pas ce qui convient à l’individu qu’il a fasse à lui. Le fait de donner et de recevoir dans une relation amoureuse (comme vécue avec Lucie pour moi) ou amical et un subtil mélange qu’il faut cultiver avec envie, attention mais aussi avec sagesse. Il faut savoir parfois dire non à une attente de la personne aimée, même si, pour elle, elle apparaît comme une évidence. C’est le cas surtout quand cela va à l’encontre de ce que nous pensons ou ce que nous ressentons. Le fait de trouver la bonne distance concerne l’aspect psychologique mais aussi et simplement l’aspect physique, comme nous pouvons l’envisager plus facilement. Il est important de garder cette bonne distance qui prend en compte la relation des individus, la situation, et les besoins de la personne ou des personnes concernées, même indirectement. Elle doit se réinventer à chaque rencontre cette distance. Elle n’obéit à aucune règle fiable à 100%, sauf celle d’écouter les nombreux signes du corps, du langage des différents intervenants, qui prennent part à l’instant, et aussi du cœur…

Toujours dans la même lignée de ces réflexions multiples, nous sommes là où nous sommes aujourd’hui, car nous avons faits des choix. C’est encore mieux de pouvoir les assumer entièrement et d’avancer grâce à ces derniers et avec ces derniers… J’ai toujours voulu ne pas faire partie de la catégorie des personnes qui remettent toujours au lendemain des projets ou des rêves qu’ils souhaitent réalisés. Je pense n’y être plutôt pas trop mal arrivé.

Dans nos pays «développés», les excuses pour ne pas agir ne sont généralement pas cohérentes. Je me souvent au lycée des personnes qui disaient, même si c’était sous le ton de la rigolade: «Vivement la retraire, vivement que j’ai plus d’argent, vivement que je sois plus âgée, tout au moins, pour faire…»  Je ne fonctionne pas comme cela. Je ne peux pas laisser une multitude de projets à foisonner ou s’effacer dans mon fort intérieur. J’ai besoin d’en piquer un ou plusieurs dans les plus importants, qui germent dans mon esprit, pour passer à sa réalisation, dans chaque parcelle du moment présent. C’est le cas par exemple pour Le Voyage, les voyages. Car, même si je ne compte pas m’arrêter là concernant la découverte de notre planète, je sais que cela sera complètement différent plus tard avec des enfants, ou la vieillesse qui me rattrapera. Et même si je n’aurais jamais assez d’une vie pour réaliser ce que j’aimerais vivre ou expérimenter, même si doubler le temps d’une journée ne serait pas suffisant, j’ai conscience de cet état de fait, et cela me permet d’envisager mes choix avec plaisir. 
D’ailleurs en parlant de plaisir et de respect pour ma vie, mes idées ne sont pas aussi claires qu’au début de mes réflexions, qu’au début de mes escapades dans mon esprit. Mes paupières s’alourdissent au fil des pensées. Mon corps, son état physique, me rappelle à l’ordre. Il me dit que le sommeil vient. Je veux, plus que jamais, respecter ces besoins aussi. Je prépare alors mon couchage sur le banc. Je fais un bisou à Lucie qui est endormie. J’ai encore de belles pensées. Puis une fois allongé, les yeux fermés, je dors déjà!

Nous sommes déjà le 6 Mars 2016. Nous nous réveillons tranquillement alors que le hall d’aéroport reprend vite vie avec de nombreux départs programmés. Après Sao Luiz, Rio, Lima et Bogota, nous nous apprêtons à partir pour la dernière étape; la destination choisie! Nous allons sortir de ce moment de «perdition» en transition, de ce moment un peu hors du temps, un peu en décalage par rapport aux instants vécus depuis le début de ce voyage. C’est cela, le bonheur du voyage au long cours. L’imprévu est toujours devant soi. Les expériences multiples et les journées qui ne se ressemblent pas sont monnaie courante. Nous voici en partance, pour l’Amérique centrale! Devant nous, des terres que je n’ai encore jamais eu la chance d’explorer, des cultures et des hommes dont je ne connais pas les habitudes ou les coutumes. Peut-être  seront-elles toutes similaires à d’autres découvertes auparavant? Je veux pourtant en avoir le cœur net, je veux l’expérimenter par mes propres moyens, en direct et en vivant le moment présent!

Un aéroport est un endroit où j’aime me trouver et être spectateur. C’est un lieu où des personnes aux histoires multiples, aux personnalités différentes, aux origines d’un peu partout sur terre peuvent se croiser.


Nous sommes spectateurs de cela mais aussi partie prenante. Nous vivons notre histoire et ce beau voyage! Nous sommes en partance pour le Panama! Le voyage est encore plaisant, la vue splendide depuis les hublots… Quelques heures plus tard, nous découvrons Panama City depuis le ciel avant de la découvrir en marchant!

Et voilà, le message que je découvre à la fin de mes écrits, en relisant le texte que j’ai écrit et que Lucie a relu et «validé»:

«I LOVE
YOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU !!! »



Tellement agréable d’avoir ces attentions sincères! Après avoir découvert ce message, nous passerons encore un moment de complicité magique! Le décalage est grand sûrement pour vous lecteur. Mais c’est ce que j’aime bien et ce texte, cet article s’y prête bien… Et puis, depuis longtemps, j’écris les textes de mes aventures, de nos aventures à deux maintenant, longtemps après les avoir vécus (parfois plus de trois mois plus tard). Je trouve donc très sympa de mêler un peu la réalité du temps de l’écriture avec le présent du vécu de notre voyage…

1 commentaire:

  1. merci de ce partage de tes ressentis et de tes sentiments pour Lucie;je suis heureuse que vous trouviez de la complicité ,que vous avanciez sur le long chemin de vie.bises à vous deux

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