Transition parfaite avant d’arrivée en Chine, je vais encore pouvoir aiguiser mes sens, surtout celui de la vue, devant ces paysages variés, et de l’odorat grâce aux odeurs de multiples plats manger dans le train. Nous nous éloignons petit à petit des steppes du désert de Gobi constitué de ces paysages esseulés et immaculés balayés par le vent faisant pénétré, pendant plus d’une heure, et par la moindre ouverture, une quantité impressionnante de poussière et de sable à l’intérieur des wagons. La suffocation n’est pas loin pour une mongolienne faisant partie de mon compartiment. Elle demandera même à quitter le train à la frontière. Après avoir été raisonnée, elle n’en fera rien! Chacun pourra tout de même profiter pleinement de ce magnifique coucher de soleil sur le sable rougeâtre constituant cette portion du trajet avant de rentrer en Chine.
Etant avec 2 mongoles et un chinois, parlant un peu anglais, la transition est toute trouvée même si cette proportion ne respecte pas vraiment l’importance des populations (2 millions de Mongoliens et 1,3 Milliards de Chinois).
La rupture entre ces 2 pays sera matérialisée physiquement, à la frontière, par le changement obligatoire de la partie roulante du train. En effet, l’écartement des rails, différent entre la Russie-Mongolie et la Chine, rend incompatible le trajet entre ces deux pays sans ce changement spectaculaire. Pendant une heure, les roues vont être désolidarisées, les wagons surélevés par bloc de 8 avant d’y fixer la nouvelle partie roulante mobile. La transition sera définitive avec l’apparition de nouveaux paysages plus verdoyants, plus accidentés et bientôt fortement montagneux, avec le passage du train au bord de falaises impressionnantes.
La précipitation pour vider la carte mémoire pleine de mon appareil photo, afin de pouvoir figer sur la pellicule ces instants spéciaux constituera la perte de tous les derniers clichés non sauvegardés. Je ferais ce qui est nécessaire pour essayer de les récupérer, en vain! Je ne perdrais pas plus de temps dans cette activité futile et préfèrerais profiter du temps et des moments qui s’offrent à moi (échanges, partage de nourriture avec mes partenaires de compartiment, rencontre de nouvelles personnes; russe vivant à Berlin, couple d’Allemand, Australien rentrant au pays après 4 ans en Angleterre,… ) L’utilisation de ma carte mémoire personnelle (en pleine ébullition et totalement fonctionnelle); prénommé à ce que l’on dit mémoire et prenant place dans le cerveau, sera pour sûre l’enregistrement le plus facile à conserver et le meilleur révélateur de la réalité vécue dans toutes ces dimensions… La mosaïque de souvenirs, d’instants vécus, s’imbriquent dans mon esprit, me construisant et me permettant de prendre pleinement conscience de ce monde qui m’entoure!
Ces différents instants de transition, en train, sont aussi le moment de la réflexion, du repos, de l’évasion de l’esprit à travers lecture, musique et autre,…de la préparation des prochaines étapes et de la remémoration de quelques souvenirs très frais mais aussi de ceux qui ont fait ce que je suis et d’où je viens. Petites pensées pour toutes les personnes qui comptent plus que tout à mes yeux; une, toute particulière, se tourne vers des êtres chers qui nous ont quittés. Ils m’ont tellement apportés. Ils ont participés à m’apprendre le respect de certaines valeurs et surtout l’importance de l’amour des uns envers les autres…
J’arrive à Pékin le cœur léger!
Retour dans la capitale chinoise, 11 mois après mon premier séjour. L’attente n’est pas aussi élevée que pour les précédentes étapes. Il est vraiment agréable de pouvoir flâner dans une ville sans objectif particulier, portant un regard différent et n’ayant pas, à l’esprit, une quantité gigantesque de chose à faire. Je déambule dans les rues des différents quartiers, dans les parcs très animés tout au long de la journée, dans les Hütongs, spécifiques de la ville, à la quête d’une surprise architecturale, historique, de moments de vie, pouvant me surprendre à chaque coin de rue et aussi d’échanges, si minimes soit-il avec les habitants en raison de la barrière de la langue.
Je me rends, tout de même, dans quelques endroits incontournables que sont la place Tienanmen, la cité interdite, des temples, le district 798 d’arts.
Mes papilles gustatives sont exaltées par des plats riches en viande, en poisson, allégrement pimentés d’épices pouvant être d’une force surprenante, parfois quasi indigeste pour un estomac occidental non préparé.
Pendant 36h00, ma préoccupation va être l’atteinte de mon prochain objectif: direction Tibet! Il est obligatoire pour rentrer dans cette province si particulière d’être en possession d’un permis spécial dont l’obtention ne se fait que par l’intermédiaire d’une agence de voyage qui propose obligatoirement un circuit avec guide. Mon premier contact est une agence locale qui aide les populations et reverse une partie de l’argent perçu. Ils ont malheureusement, en cette fin de saison touristique, aucune autre personne intéressée pour effectuer le même parcours que moi. Le prix est donc de 10500 RMB (1235 euros) pour le trajet jusqu’à Lhassa, le permis d’entrée au Tibet et aux autres zone traversés lors du circuit, un moyen de transport, un chauffeur, un guide (hébergement et nourriture inclus pour eux pour 11 jours). Ce prix n’inclue pas mon hébergement et ma nourriture, les entrées sur les différents sites (entre autre celui des temples et du camp de base de l’Everest).
Le proverbe, «Le temps est de l’argent», prend alors tout son sens lors de ce voyage que je veux au long cours… La persévérance, pugnacité, les contacts humains et relationnels, l’organisation et la logistique sont encore plus à mettre en avant. C’est ça aussi de voyager par ces propres moyens; trouver les bons plans, ne rien lâcher et parfois passer du temps à attendre pour atteindre un objectif sans être sur du résultat final. Je vais être récompensé de mes recherches sur internet (forum, site de partage d’informations, recherche de compagnie travaillant dans ce secteur), de mes allées et venues sur différents sites à Pékin. D’une seule proposition avec un prix démentiel pour moi tout seul, je me retrouve après 36H00 avec 4 propositions pour différents parcours, à différentes dates, avec un groupe plus ou moins important. En raison des dates et des prix, je choisis de rejoindre un groupe de 5 voyageurs indépendants à Chengdu. Ça sera un tour de 10 jours avec arrivée à Lhassa, pour trois jours d’exploration, puis le parcours de la route de l’amitié et le camp de base de l’Everest avant d’atteindre la frontière Népalaise. Le tout compris me reviendra à 3300 RMB (environ 390,00 euros).
Je peux profiter de la fin de mon séjour à Pékin l’esprit libéré, heureux d’atteindre un nouvel objectif majeur lors de ce voyage. La spiritualité, des prochains lieux qui s’offrent à moi (Tibet, Népal, et Inde), m’envahit d’ores et déjà. L’excitation monte d’un cran, je suis impatient de rejoindre Chengdu.
Lors de mon trajet en train, je traverse la Chine profonde du Nord-Est au Sud-Ouest, au milieu de paysages verdoyants constitués de collines, montagnes, de rivières coulants dans les vallées, où les usines et les cultures, dont les rizières, sont légions!
Je suis comme l’an passé dans un wagon qu’avec des chinois! Très rapidement, un premier contact se noue. Ils sont très sympathiques, forts étonné de ma présence, seul, parmi eux, aimant mon mode de vie. Une fois encore, s’il en était besoin, cette expérience vécue prouve, qu’en partant en solitaire, je m’ouvre des perspectives beaucoup plus grande qu’à plusieurs. Une fois n’est pas coutume dans ce voyage où je ne quasiment pas bu de boisson alcoolisée (ne buvant jamais seul et n’en ressentant pas souvent le besoin ou l’envie même à plusieurs), L’alcool de riz aidant (52%) et les bières coulant à flot, l’atmosphère détendue se poursuivra tout le trajet, agrémentée de fous rires, de regards complices de nourriture chinoise et de temps de repos. J’ai pris part à une nouvelle expérience humaine indescriptible, qu’il est si bon de vivre…
Je suis tout de même ravi de sortir du train et d’atteindre cette nouvelle destination: Chengdu! Comme c’est le cas pour de nombreuses villes chinoises, j’arrive dans une grande mégalopole de plusieurs millions d’habitants.
A peine sortie de la gare, je me retrouve dans une vraie fourmilière où l’activité y est débordante. Les scooters, motos, et mobylettes s’entrecroisent par centaines, les échoppes ambulantes y sont légions et vendent de tout (pomme de terre chaude, brochettes de viandes, de poissons et de légumes cuitent à la mode barbecue, fritures contenant de nombreux et différents aliments, boissons, différents pains,… Voici un inventaire non exhaustif pour la nourriture! Il y a ensuite les vendeurs de chaussettes, chaussures, petites poupées, objet de décoration, bijoux,…), les petits magasins dans des hangars au rez-de-chaussée des immeubles, sont présents à chaque coin de rues et la concurrence doit être très rude vu le nombre d’entre eux vendant le même produit… Le nombre de piétons dans les rues et des personnes empruntant les bus ne décroissent pas avec les heures de la journée qui s’égrènent...
La société de consommation capitaliste est vraiment poussée à l’extrême; chaque chinois essayant d’en tirer profit et surtout de tirer son épingle du jeu! De par les vieux immeubles délabrés, les personnes ramassant les plastiques dans les poubelles, l’entassement d’une même famille (grands-parents, parents, enfants,….), il est aisé de constater que la pauvreté fait partie intégrante de l’environnement et la vie, au quotidien, de ces grandes villes. D’un autre côté, une classe moyenne est aussi en train d’éclore. Elle veut atteindre des standards de vies de plus en plus élevés, favorisés par la multiplicité des offres et des biens à s’approprier de cette société consumériste en Chine.
Pour ma part, je vais essayer, le plus possible, de voir la vie tel que les chinois peuvent la vivre. Je me plais à me perdre dans les dédales des rues de cette grande ville. Au hasard des chemins empruntés, je trouverais un marché authentique et seulement arpenté par des chinois, un parc où les habitants pratiquent le Thaï-Shi, jouent et relaxent, un temple, une église, un lieu où des personnes jouent à des jeux de société multiples… Bizarrement, malgré la taille de cette ville, les habitants me regardent, en grande majorité avec des yeux écarquillés! Il est certains qu’ils n’ont pas l’habitude de rencontrer des personnes non-asiatiques tous les jours. La sensation est, quoi qu’il en soit, agréable car elle tient de l’étonnement, de certaines interrogations, de l’amusement avec des «Hello» et non d’aucune forme de communication négative, tel l’agression. La journée s’écoule rapidement et les instants passés, sans aucun planning préalable, furent riches en enseignement.
Chengdu va surtout être la première vrai rencontre avec un animal qui n’a pas son égal. Il est vénéré par de nombreux asiatiques, il possède son effigie sur de nombreux articles. Les meilleurs qualificatifs sont, je pense, gros nounours, calme, mignon et majestueux à la fois. Il ne peut pas laisser insensible les plus petits comme les plus grands.
Les quelques heures passées à leur côté, pouvant les observer se nourrir, s’hydrater, se mouvoir en «semi-liberté» dans cette réserve et ce centre de recherche, font partie pour sûre des grands moments de ce rêve éveillé.
Avez-vous devinés de quel animal il s’agit? Dois-je tué le suspens à cet instant?
Dernier petit indice, qui devrait vous mettre définitivement sur la voie. Si je vous dis que le bambou est son plat principal!
Je suis persuadé que vous détenez maintenant la réponse; il s’agit bien sûr du Panda!
Je suis comme l’an passé dans un wagon qu’avec des chinois! Très rapidement, un premier contact se noue. Ils sont très sympathiques, forts étonné de ma présence, seul, parmi eux, aimant mon mode de vie. Une fois encore, s’il en était besoin, cette expérience vécue prouve, qu’en partant en solitaire, je m’ouvre des perspectives beaucoup plus grande qu’à plusieurs. Une fois n’est pas coutume dans ce voyage où je ne quasiment pas bu de boisson alcoolisée (ne buvant jamais seul et n’en ressentant pas souvent le besoin ou l’envie même à plusieurs), L’alcool de riz aidant (52%) et les bières coulant à flot, l’atmosphère détendue se poursuivra tout le trajet, agrémentée de fous rires, de regards complices de nourriture chinoise et de temps de repos. J’ai pris part à une nouvelle expérience humaine indescriptible, qu’il est si bon de vivre…
Je suis tout de même ravi de sortir du train et d’atteindre cette nouvelle destination: Chengdu! Comme c’est le cas pour de nombreuses villes chinoises, j’arrive dans une grande mégalopole de plusieurs millions d’habitants.
A peine sortie de la gare, je me retrouve dans une vraie fourmilière où l’activité y est débordante. Les scooters, motos, et mobylettes s’entrecroisent par centaines, les échoppes ambulantes y sont légions et vendent de tout (pomme de terre chaude, brochettes de viandes, de poissons et de légumes cuitent à la mode barbecue, fritures contenant de nombreux et différents aliments, boissons, différents pains,… Voici un inventaire non exhaustif pour la nourriture! Il y a ensuite les vendeurs de chaussettes, chaussures, petites poupées, objet de décoration, bijoux,…), les petits magasins dans des hangars au rez-de-chaussée des immeubles, sont présents à chaque coin de rues et la concurrence doit être très rude vu le nombre d’entre eux vendant le même produit… Le nombre de piétons dans les rues et des personnes empruntant les bus ne décroissent pas avec les heures de la journée qui s’égrènent...
La société de consommation capitaliste est vraiment poussée à l’extrême; chaque chinois essayant d’en tirer profit et surtout de tirer son épingle du jeu! De par les vieux immeubles délabrés, les personnes ramassant les plastiques dans les poubelles, l’entassement d’une même famille (grands-parents, parents, enfants,….), il est aisé de constater que la pauvreté fait partie intégrante de l’environnement et la vie, au quotidien, de ces grandes villes. D’un autre côté, une classe moyenne est aussi en train d’éclore. Elle veut atteindre des standards de vies de plus en plus élevés, favorisés par la multiplicité des offres et des biens à s’approprier de cette société consumériste en Chine.
Pour ma part, je vais essayer, le plus possible, de voir la vie tel que les chinois peuvent la vivre. Je me plais à me perdre dans les dédales des rues de cette grande ville. Au hasard des chemins empruntés, je trouverais un marché authentique et seulement arpenté par des chinois, un parc où les habitants pratiquent le Thaï-Shi, jouent et relaxent, un temple, une église, un lieu où des personnes jouent à des jeux de société multiples… Bizarrement, malgré la taille de cette ville, les habitants me regardent, en grande majorité avec des yeux écarquillés! Il est certains qu’ils n’ont pas l’habitude de rencontrer des personnes non-asiatiques tous les jours. La sensation est, quoi qu’il en soit, agréable car elle tient de l’étonnement, de certaines interrogations, de l’amusement avec des «Hello» et non d’aucune forme de communication négative, tel l’agression. La journée s’écoule rapidement et les instants passés, sans aucun planning préalable, furent riches en enseignement.
Chengdu va surtout être la première vrai rencontre avec un animal qui n’a pas son égal. Il est vénéré par de nombreux asiatiques, il possède son effigie sur de nombreux articles. Les meilleurs qualificatifs sont, je pense, gros nounours, calme, mignon et majestueux à la fois. Il ne peut pas laisser insensible les plus petits comme les plus grands.
Les quelques heures passées à leur côté, pouvant les observer se nourrir, s’hydrater, se mouvoir en «semi-liberté» dans cette réserve et ce centre de recherche, font partie pour sûre des grands moments de ce rêve éveillé.
Avez-vous devinés de quel animal il s’agit? Dois-je tué le suspens à cet instant?
Dernier petit indice, qui devrait vous mettre définitivement sur la voie. Si je vous dis que le bambou est son plat principal!
Je suis persuadé que vous détenez maintenant la réponse; il s’agit bien sûr du Panda!
Après l’avoir observé, je comprends un peu mieux pourquoi certains lui voue une telle admiration.
Leur comportement est tellement incroyable qu’il est impossible de ne pas leur trouver un certain charme. Ils sont d’un calme remarquable, ne prêtant que très peu attention à notre présence, même quand certains chinois ne peuvent garder leur calme, hystériques, criant à tout-va; ils restent impassibles. Heureusement cette réserve n’est que très peu fréquentée en cette journée et je pourrais en profiter pleinement.
Leur agilité se confirme dès que je les voie monter dans les arbres ou attraper les bambous par branches entières. Ils arrachent, avec dextérité, un nombre de feuilles monstrueux, les réunissent pour en faire un paquet compact et finissent par les manger, tout cela en quelques secondes. Il est alors plus aisé de comprendre comment ils sont capables de se nourrir de plus de 20 Kg de feuilles de bambous par jour.
J’aurais pu rester des heures à les observer, essayer de mieux les comprendre et profiter de cette tranquillité qu’ils m’inspirent. Je ne me fais pas de souci pour eux quant à leur bien-être, excepté pour la perte de leur milieu naturel. Ceci se confirme quand je les voie s’allonger tranquillement pour faire une longue sieste, une fois le repas fini. La découverte de petits de moins d’un an constituera une autre occasion de m’émerveiller.
Chaque étape me comble, et à chaque fois différemment! Me plongeant un peu plus dans le programme qui m’attend dans les prochaines semaines, je ne peux qu’esquisser un grand sourire! Cela commence dès demain par le trajet en train sur la ligne la plus haute du monde et menant, au Tibet, sur le plateau le plus haut du monde où se trouve Lhassa…
fonce mon pote, notre Aventure est au bout !
RépondreSupprimerSourire, sourire, quand tu nous tiens !
je t'aime mon pote, Merci pr ce partage, c'est bien raconté, il faut le vivre, tu as des "c*uilles" ! LOL ;))))
que c'est merveilleux ces différentes découvertes ces peuples plus originaux les uns que les autres; je m'étonne toujours du comment fais tu pour communiquer avec tous ces gens avec la barrière de la langue????
RépondreSupprimeret ces pandas ils sont si attachants!
bonne continuation et continues de nous faire voyager avec tout ton ressenti si important
nous t'embrassons très fort
super toutes ces photos nous sommes avec patrice et suzanne chez aimee et j f et je montre à suzanne comment elle peut te mettre un commentaire
RépondreSupprimerton périple nous fait rêver mon cher cousin. Tes photos et tes récits nous en mettent plein les yeux. continues de profiter de ces moments fabuleux et continues de nous faire voyager par les images et les mots. gros bisous
RépondreSupprimerJe vous remercie pour vos messages qui me vont droit au cœur. Il est toujours important et agréable de garder les liens avec ces proches. Malgré la distance physique qui nous sépare, je suis et serais ravi de recevoir de vos nouvelles, de savoir comment vous allez avant les futures retrouvailles, je ne sais où, je ne sais quand… Mais elles promettent d’être belles (pour Antho, c’est déjà demain, que du bonheur !
RépondreSupprimerheureuse de te retrouver, tu commencais à nous manquer, nous avons toujours hâte de connaître la suite, c'est tellement passionnant!!!!! j'avoue ma fierté en faisant partager ces moments avec mes amis, ma marraine jeanine que tu ne connais pas et michel mon grand frère; gros bisou et continue de nous enchanter
RépondreSupprimerBravo cher Matthieu pour tous ces témoignages d'émerveillement et d'énergie consacrés à la découverte et à la compréhension du monde. Te lire permet de grandir un peu, même si c'est de plus en plus difficile à plus de 67 ans.
RépondreSupprimerj'attends avec impatience les nouvelles pages de tes aventures.
Je t'embrasse très fort
merci, des frissons partout, meme en lisant les commentaires de tes proches...merci merci
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